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Chrystia Freeland : envoyée spéciale en Ukraine?
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Chrystia Freeland : envoyée spéciale en Ukraine ?

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Ivan Katchanovski (Anglais seulement)

Professeur à temps partiel, ɳٳܻå±ð²õ politiques, Faculté des sciences sociales

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Le professeur Katchanovski est notamment spécialiste de l'Ukraine et des conflits armés. Il publiera prochainement un livre sur la guerre russo-ukrainienne et ses origines.

« La nomination de Chrystia Freeland au poste d'envoyée spéciale internationale pour l'Ukraine poserait un problème tant à Trump qu'à Poutine. »

 

Elie Banyongen (Français et Anglais)

Professeur à temps partiel, ɳٳܻå±ð²õ politiques, Faculté des sciences sociales

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Le professeur Banyongen est un expert en communication internationale, communication politique et relations internationales.

« Compte tenu de la distance qui nous sépare des prochaines élections fédérales et du fait que nous sommes désormais sur le point (une fois le cessez-le-feu conclu) d'entamer la reconstruction en Ukraine, la ministre Freeland pourrait estimer que le moment est venu d'assumer un nouveau rôle. Cela lui permettrait de mettre à profit deux de ses principales qualités : son expérience professionnelle en matière de politique étrangère et de négociations internationales, et son intérêt personnel lié à ses origines ukrainiennes. Â»


 

Errol Mendes (Anglais seulement)

Professeur titulaire, Section de Common Law, Faculté de droit et ancien directeur du Centre de recherche et d'enseignement sur les droits de l'homme.

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L'expertise du professeur Mendes porte sur le droit constitutionnel et les droits de la personne, le droit des sociétés, la gouvernance mondiale, le droit international public.

« Je pense que cette nomination en Ukraine pourrait être provisoire, le Canada, y compris le premier ministre Carney, poussant Freeland à devenir la prochaine secrétaire générale de l'ONU et la première femme à occuper ce poste.

Il s'agit également d'une excellente nomination pour Mme Freeland, compte tenu de ses racines familiales en Ukraine et de son expérience en tant qu'ancienne ministre des Finances qui connaît la plupart des ministres des Finances européens et du G7. Elle pourrait jouer un rôle clé dans la recherche de moyens pour aider à financer les fonds considérables nécessaires pour maintenir l'économie ukrainienne à flot et financer une guerre qui pourrait durer encore de nombreuses années. Elle est également l'une des meilleures expertes sur la manière d'utiliser les milliards de dollars russes gelés pour financer l'Ukraine afin qu'elle puisse continuer à mener la guerre et, espérons-le, la gagner. Â»