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femme qui joue avec un enfant
Une nouvelle étude dirigée par la professeure Elisa Romano, à l’École de psychologie de l’Université d’Ottawa, démontre que les parents peuvent remplacer les pratiques punitives par des stratégies de discipline plus positives.

La recherche a évalué le programme Discipline positive au quotidien (PDEP) auprès de 183 parents canadiens d’enfants âgés de 2 à 6 ans. Comparativement à un groupe témoin, les parents ayant complété le programme ont déclaré :

  • Moins de punitions physiques (comme les fessées)
  • Moins de punitions émotionnelles (comme l’isolement ou le retrait d’activités)
  • Davantage de pratiques proactives (comme préparer l’enfant aux transitions ou expliquer les règles)

Ces améliorations se sont maintenues après la fin du programme, et étaient encore présentes un mois plus tard.

« Les parents cherchent des solutions efficaces pour remplacer la punition », explique la professeure Romano. « Notre recherche montre que le PDEP aide à renforcer la relation parent-enfant tout en réduisant les pratiques disciplinaires nocives. »

Il s’agit de la première évaluation expérimentale du PDEP au Canada, qui met en évidence son potentiel comme approche efficace et bienveillante pour les familles.