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La Revue de droit d’Ottawa est ravie d’annoncer le succès du troisième Colloque de recherche étudiante Emilio Binavince qui s’est tenu le 16 mars 2024.

Il existe des millions d'apatrides dans le monde – des personnes qui ne sont reconnues comme citoyens dans aucun pays. Longtemps considérée comme une question étroitement liée à la migration, la recherche de la professeure Jamie Liew sur l'apatridie innove en explorant les limbes juridiques d'un sous-groupe de personnes sans citoyenneté qui sont légalement sans abri malgré des liens...

Depuis la fin de ses études en 2004, Juliet Chang Knapton s’est engagée de façon exemplaire à servir la profession juridique, le public et la communauté à grande échelle.

Pour la troisième année consécutive, une étudiante de la Section de common law de l’Université d’Ottawa remporte un prix pour son article sur les condamnations injustifiées.

Le gouvernement de l’Ontario a annoncé la nomination d’une nouvelle juge associée à la Cour supérieure de justice, avec effet au 11 avril 2024.

La Section de common law félicite chaleureusement les trois personnes récemment diplômées qui ont obtenu le très prisé poste d’auxiliaire juridique à la Cour suprême du Canada pour l’année 2025-2026.

Du 22 au 24 mars dernier s’est tenue la 6e édition du Concours de plaidoirie Michel-Bastarache.

Comme le veut la tradition, la Faculté de droit a tenu le 13 mars une cérémonie d’accueil en l’honneur de l'honorable Mary T. Moreau, la dernière juge nommée à la Cour suprême du Canada.

Ces dernières années, c’est souvent avec une certaine note d’appréhension que l’on discute de l’avenir des technologies. Dans quelle mesure peut-on faire confiance à l’IA et à la cryptomonnaie? Les avancées en la matière sont-elles même réglementées? Comment se préparer pour l’ère de l’informatique quantique? Le professeur Martin-Bariteau, lui, fait siennes ces questions.

Comment savoir si la durée d’une peine d’emprisonnement est juste ou non? À quel point la peine doit-elle être sévère pour un crime grave? Et pour une infraction relativement mineure? Est-il justifié, seulement, d’imposer des peines d’emprisonnement?